AUTANT DE DESSINS À DESSEIN
Sans faire ici l’historique de l’émergence de la Permaculture, ni de ses courants associés, je résumerai en une phrase le mot d’ordre commun aux permaculteurs, que j’emprunte une fois de plus à Éric Lenoir, lorsqu’il sous-titre son Petit traité du jardin punk : ‘Apprendre à Désapprendre’. Une ligne de conduite sur laquelle cheminer, et qui aujourd’hui fait écho à l’une de mes phrases de sagesse en Védic Art®.
CULTIVER SA PROPRE COULEUR
Dans le sillage de @L’ENGRAINEUSE, en permaculture comme en @védicart, il s’agit de redonner du sens à sa vie en se recentrant sur l’essentiel par une pratique créative au quotidien…
DE LA RACINE AU PINCEAU, ENTRE COULEURS ET SAVEURS
Les mots PIGMENT et PIMENT ont la même racine étymologique, ‘pigmentum’, en latin, lui-même dérivé de ‘pingere’ : broder, tatouer et peindre. En son temps, ‘pigmentum’ désignait ‘une matière colorante’ ainsi que ‘les propriétés tinctoriales des aromates et des épices’, c’est-à-dire à la fois ‘la couleur pour peindre’ et ‘le suc des plantes’ !
À PORTÉE DE MAINS
Parler de ‘couleurs naturelles’, cela peut consister à préciser la nature organique des pigments utilisés ou à les comparer à des organismes vivants du même nom. Par exemple, citer la couleur ‘violet améthyste’ renvoie autant à l’origine minérale dont le pigment peut être extrait qu’à la pierre semi-précieuse elle-même.
EN FRANCE AUSSI, ON SE MOBILISE POUR LA PÉDAGOGIE PAR LA NATURE
Le courant de la pédagogie ‘à ciel ouvert’, comme la nomment les Québécois*, s’appuie sur le constat que notre génération est la première qui grandit avec peu ou pas d’expériences directes avec la nature. L’homme ‘hors-sol’ est né !